En 2013, Philippe Varin, alors PDG de PSA Peugeot Citroën a déclaré publiquement renoncer « aux dispositions actuelles de ses droits à la retraite compte tenu de la polémique ».
Il était un peu poussé par l’indignation générale de la divulgation du
montant de sa retraite chapeau de 21 millions d’euros... alors que le
groupe supprimait 8 000 emplois et avait annoncé 5 milliards de pertes
en 2012.
Dans les faits, Philippe Varin n’aurait jamais pu prétendre à aucune retraite chapeau. L’entreprise accorde en effet un généreux régime de « retraite supplémentaire » uniquement aux dirigeants qui comptent un minimum de 5 années de présence au sein du groupe.
Or Philippe Varin n’avait que quatre ans et demi de présence à la tête de PSA. Qu’à cela ne tienne. Le constructeur automobile a signé avec son ancien dirigeant un contrat de travail temporaire, ce qui lui a permis d’atteindre le sacro-saint seuil de 5 années d’activité.
Parallèlement, Philippe Varin modifie les conditions de versement de sa retraite chapeau. Le système de pension est revu en baisse, le futur ex-patron n’aura droit qu’à « 299.000 euros par an au lieu de 420.000 euros » .
Dans les faits, Philippe Varin n’aurait jamais pu prétendre à aucune retraite chapeau. L’entreprise accorde en effet un généreux régime de « retraite supplémentaire » uniquement aux dirigeants qui comptent un minimum de 5 années de présence au sein du groupe.
Or Philippe Varin n’avait que quatre ans et demi de présence à la tête de PSA. Qu’à cela ne tienne. Le constructeur automobile a signé avec son ancien dirigeant un contrat de travail temporaire, ce qui lui a permis d’atteindre le sacro-saint seuil de 5 années d’activité.
Parallèlement, Philippe Varin modifie les conditions de versement de sa retraite chapeau. Le système de pension est revu en baisse, le futur ex-patron n’aura droit qu’à « 299.000 euros par an au lieu de 420.000 euros » .